Dans les années 30, à la suite de la création des assurances sociales de 1928-1930, la crainte reste la même et les médecins font toujours pression sur les pouvoirs publics pour limiter leur démographie… quitte à verser dans la xénophobie et l’antisémitisme. pic.twitter.com/joxzuoK4bn
— Nicolas Da Silva (@dasilva_p13) January 1, 2023
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Voilà beaucoup de raisons qui justifieraient de retirer à l’Etat et aux médecins la seule responsabilité de la définition du numerus clausus. Plus largement, ne serait-il pas temps de démocratiser la formation médicale et la sécurité sociale elle même ?
Fin pic.twitter.com/mc2034jAZA
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Les règlementations contraignantes qui émèrgent alors concernent les médecins étrangers et juifs. D’ailleurs, toute une partie de la profession sera particulièrement associée à la collaboration (le conseil de l’ordre né sous Vichy est une institution forte du régime). pic.twitter.com/AUgxPTXmTB
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Mais tout cela commence avant Vichy. Il faut la citoyenneté française (ou venir d'un protectorat) à partir de 1933 et un dîplome français pour exercer sur le territorie sauf exceptions (1892). Mêmes les médecins naturalisés sont pénalisés pour l’installation à partir de 1935. pic.twitter.com/5qYz1bpDoG
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Le politiste Marc-Olivier Déplaude interroge ainsi dans cet article l'existence d'une « xénéophobie d'Etat » qui se serait étendue jusqu'à… la fin des années 1990, période où les contraintes aux médecins étrangers sont lévées.https://t.co/qfhPOpShQr
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Malgré ces dispositions et les revendications continues de la profession depuis le 19è siècle, ce n’est qu’en 1971 qu’est instauré le numerus clausus : c’est à dire une limitation du nombre de médecin imposée au moment de la formation sur le territoire national.
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La création du numerus clausus prend ses racines dans la contestation par certains médecins du mouvement de mai 1968 dans les universités. Il s'agissait en particulier de lutter contre le syndicat SNEsup qui défendait l'ouverture des études en général, médicales notamment. pic.twitter.com/Z5UzmPJ1au
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Et là, là, le train 100% autonome, il va pas se dépanner tout seul.
Sur des pannes mineurs oui.
Mais il y a un panel de pannes qu’aucune IA ne répare.— BB27000 (@BB27000) December 30, 2022
Une porte bloquée par une simple canette de coca vide.
Un frein bloqué, un dégagement de fumée…
Rien ne remplace un humain pour évaluer une situation.Donc il y aura toujours un cheminot à bord.
Et ce gars là, ben il peut se mettre en grève. 😅— BB27000 (@BB27000) December 30, 2022
Alors oui, un jour, on arrivera à avoir un train 100% autonome.
En mettant beaucoup d’argent. On y arrivera.Mais on verra d’abord des Locomotives de manœuvres autonomes.
Dans les triages ou dans les ports.👍
Là où c’est pertinent. pic.twitter.com/o1QBLFTrEk— BB27000 (@BB27000) December 30, 2022