“Ah oui ? Mais tu ne profites même pas du mariage pour prendre une coupe de champ ou un bon vin avec ton repas ? Tu n’as pas l’impression de rater quelque chose ?”
La question est vraiment pour moi finalement ?— Lear 🏴☠️⚛️🔭 #legalizeRecreationalPlutonium (@LemoineJoseph) January 4, 2024
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Les soirées était un prétexte à relâcher les limites, et tout particulièrement la limite de conso. Ce n’était pas une recherche de "performance" mais plus une façon de ne plus se sentir contraint par toute les frustrations du quotidien (y compris physique)
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Bref depuis 2017 je faisais le #dryJanuary, et d’ailleurs les soirées du nouvel an était synonyme de beuverie. Peut-être bêtement pour profiter “une dernière fois”, enfin profiter c’est un bien grand mot pour un grand mal (de crâne) ! Mais on rigole bien, non ? Je ne sais plus… pic.twitter.com/LgLxrXmuk7
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Celle-là je l’ai beaucoup entendu, mais qu’avez-vous vraiment peur de rater en ne buvant pas pendant un gros évènement ? (tant qu’on y est, si on peut aussi arrêter la tradition des musiques super forte en fin de mariage… Parler c’est bien aussi)
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Mais souvent les problèmes ressurgissent avec l’ivresse, qu’ils soient professionnels ou affectifs. Ce n’est jamais glorieux, vous savez très certainement de quoi je parles, vous l’avez certainement vécu aussi. Le lendemain, on se fait tout petit. pic.twitter.com/jGqtnzgM9b
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Puis le covid est passé par là et les apéros de confinement sont passés d’une bouteille (de vin) le vendredi, à deux bouteilles, puis aussi le samedi et parfois le dimanche. Pente glissante, on s’en rend compte et on se calme.
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“Putain un fest sans alcool ça a du être super dur ! APERO !!!” Mais non en fait, j’ai même pu voir tous les concerts que je voulais, j’étais frais, et les smoothies étaient top. En revanche c'est sûr que j’ai déjà raté beaucoup de choses car trop bourrés aux éditions précédentes
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Jusqu’à la fois de trop : Celle où socialement ça ne passe plus. Les amis se crispent et il faut se résoudre à admettre que si l’eau ne résout pas non plus les problèmes, l’alcool en crée d’autres.
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Mais le goût était là, un verre avec son repas c’est sympa. Qui plus est partagé ! (je me suis marié un an avant le covid) Arrivent les restos et les vacances, et les sessions d’abus tendent à s'étaler entre les sessions de jeûne. Les bons alcools remplacent les mauvais
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“Tu sais, j’aime l’ivresse, ça fourmille un peu, ça détend”, oui, moi aussi en fait. Il faut être honnête, si j’aime le goût d’une bonne bière ou d’un bon vin, j’aime aussi l’ivresse. J’aime surtout me laisser aller, ne pas me prendre la tête, comme tout le monde. pic.twitter.com/YChCiDimov
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