L'enquête documentée raconte la rencontre entre la fille de 14 ans et le réalisateur de 39 ans. Il "vient la chercher à la sortie du collège", et peu à peu "tisse sa toile" autour d'elle.
Voici quelques extraits accablants qui décrivent la violence de cette relation :
(2/10)— Salomé Saqué (@salomesaque) February 8, 2024
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Benoît Jacquot "prend ma main et la pose sur son sexe", relate l’actrice. Il l’informe qu’il est "pervers". (…)
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Elle raconte "Mes joies et mes douleurs sont suspendues à ses humeurs et à son contrôle, dès qu’il le perd, il se durcit et devient cruel".
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Un jour, chez lui, "il me dit d’enlever mon pull, qu’on va faire un jeu sexuel. Je dois me mettre sur l’escalier, dos à lui et fermer les yeux. Il prend sa ceinture, se met à me fouetter. Je le laisse faire un coup, deux coups, mais je ne peux pas", raconte-t-elle.
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Elle proteste : "Ce n’est pas drôle, ça fait mal." "Je le laisse m’attacher aux barreaux de la mezzanine avec la ceinture de son peignoir." (…) Judith Godrèche subit aussi des rapports bucco-génitaux qui la "dégoûtent".
(6/10)— Salomé Saqué (@salomesaque) February 8, 2024
Chaque fois qu’elle a ses règles, c’est même "obligatoire". "Pour mes 15 ans, il décide que je dois jouir 15 fois, je n’ai pas le choix. Je fais semblant le plus vite possible." Idem pour les fellations à répétition qu’elle explique se faire imposer. (…)
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Lors d’un rendez-vous professionnel de Benoît Jacquot dans un bar, la jeune fille de 16 ans boit un Coca et fait trop de bruit avec sa paille. A la sortie, "il me donne un coup de poing dans le nez, puis part." (…)
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De retour chez elle effondrée et en larmes, la comédienne, selon son récit, se fait gifler par son compagnon qui la trouve "pitoyable". (…) Quitter Benoît Jacquot n’a pas été facile pour Judith Godrèche.
(9/10)— Salomé Saqué (@salomesaque) February 8, 2024
"C’était impossible, tout mon monde était lié à lui", explique-t-elle. Elle doit s’y reprendre à plusieurs fois, partir, revenir, avoir des aventures, affronter le chantage au suicide et les menaces, avant d’y arriver pour de bon en 1992.
(10/10)— Salomé Saqué (@salomesaque) February 8, 2024
« Non mais moi j’aime pas les extrêmes, j’ai rien contre la virilité mais je pense que les hommes déservent leur cause le plus souvent ».
— Sabrina Erin Gin (@OlympeReve) February 7, 2024
