Pour m'éviter un ulcère, je crois que je vais assez moyennement miser sur l'intelligence collective dans les semaines à venir.
— Guillaume D. (@GDeleur) May 9, 2020
Raccrocher au téléphone sans dire au revoir.
— Guillaume D. (@GDeleur) April 27, 2020
"Nous sommes en guerre" (mais apparemment pas au point d'encadrer le prix des masques).
— Guillaume D. (@GDeleur) April 27, 2020
Nous vivions un printemps inénarrable. On nous expliquait de ne pas boire d'eau de Javel. Le président français morigénait un virus n'aimant pas "l'art de vivre à la française". Un paquet de levure valait plus qu'un baril de pétrole américain. Il y avait toujours des moustiques.
— Guillaume D. (@GDeleur) April 25, 2020
Vous voir de nouveau vous chamailler sur les Figolu, c’est signe — j’imagine — que le pire de la crise du virus mortel est derrière nous.
— Guillaume D. (@GDeleur) April 22, 2020
In French, we do not say « on n’était pas prêts, on a menti et notre incompétence est incontestable », we say « en termes de logistique, nous avons eu des difficultés » and I think qu’on nous prend bien pour des éléphanteaux de trois semaines.
— Guillaume D. (@GDeleur) April 20, 2020
Bonne nouvelle : il y a au moins un autre être humain que moi dans mon immeuble. Mauvaise nouvelle : il fait des travaux.
— Guillaume D. (@GDeleur) April 6, 2020
"Je te rappelle, je suis en train de laver mes courses."
(Quelle vie.)
— Guillaume D. (@GDeleur) April 4, 2020
Nous vivions un printemps imprévu. Un virus mortel courait les rues. Il fallait se signer à soi-même une autorisation de sortie. Les drones tournoyaient. Les gens faisaient du pain en pyjama et des cures de sébum. Il y avait de plus en plus de moustiques.
— Guillaume D. (@GDeleur) April 1, 2020
Bon, niveau masques, dépistages et lits de réanimation, ce n’est clairement pas ça. Mais question régime libéral autoritaire dystopique, tout était visiblement assez bien anticipé.
— Guillaume D. (@GDeleur) March 26, 2020