Jeunes chevalières et jeunes chevaliers, vous avez surmonté de nombreuses épreuves. Trouver la localisation d’un lieu magique que les plus anciens appellent auto-école. Inscrire votre nom sur le parchemin et fournir les écus demandés. Puis commencer à mémoriser le grimoire ultime aussi prénommé code de la route. De jeunes mages vous y aideront en projetant sur le mur certaines scènes du quotidien. A toi de répondre juste aux questions et de te méfier des nombreux pièges qui se présenteront sur ta route. Grâce à ta régularité et à un travail conséquent tu t’amélioreras de jour en jour jusqu’à pouvoir te présenter à la première difficulté. Moins de cinq fautes tu devras faire. Si tu es vainqueur, alors peut être que le Graal, celui que l’on nomme le permis te sera offert à la fin de ta quête. En attendant, tu devras continuer à t’entraîner avec ton compagnon d’aventure : le moniteur d’auto-école.

Crier

Il en a vu des élèves peu doués, des gens qui ne comprenaient pas ses consignes voire de véritables dangers publics mais alors vous : c’est le pompon sur la Garonne ! Non, on n’accélère pas à la vue d’un fossé, on ne se dirige à droite quand il dit qu’il faut se diriger à gauche, à gauche quand il dit qu’on se dirige à droite, et là arrête toi devant le bureau de tabac faut que j’aille m’acheter des clopes j’en ai pour cinq minutes.
 
1.

Conseils

Conducteur averti, le moniteur d’auto-école est votre professeur particulier. Il est censé vous faire part de son expérience, de sa sagesse et de ses conseils pour que vous arriviez à vous débrouiller plus tard tout seul comme une grande ou un grand. Mais tout le monde n’a pas le sens pédagogique dans le sang.
 
4.

Toujours pire

Tout le monde n’a pas de bons souvenirs du moniteur. Certains le détestent même. Et puis on découvre qu’il y a alors pire. Les gens qui nous disent quoi faire sans être professionnel. Ah, être indépendant(e) et avoir sa propre voiture, un rêve.
 
6.

En vrac

 
8.