Grâce à la campagne de vaccination, le coronavirus est en partie maîtrisé. Les commerces ont rouvert, le port du masque à l’extérieur a été annulé et surtout il n’est plus question de confinement à quelque date que ce soit. Les gens flânent de nouveau dans les rues, s’invitent les uns les autres, qui pour un barbecue, qui pour une soirée dansante. Malheureusement dans le monde des adultes, il n’existe pas de bonnes nouvelles sans une mauvaise nouvelle. Et celle-ci est de taille : la bise, à laquelle on pensait avoir mis fin, fait son retour !

On l’a espéré

A cause ou grâce aux gestes barrières, il n’était plus possible au plus dur de la pandémie de se faire la bise. Et si certaines personnes regrettaient ce geste, elle avait de nombreuses détractrices et détracteurs. Et vu qu’on ne s’en servait pas trop trop, elles et ils pensaient que cela s’arrêterait de soi même. Grave erreur.
 
1.

On y a cru jusqu’au bout

Il faut dire que même après le début de la vaccination, la bise n’était toujours pas revenue. Entre la perte de l’habitude, la peur toujours réelle de contaminer les autres et le fait d’avoir réalisé que certain(e)s n’aimaient tout simplement pas ça, il ne s’en est pas fallu de peu pour qu’elle disparaisse.
 
4.

Mais elle est bien là

Mais les automatismes et la pression sociale sont bien ancrés en nous. Faire la bise c’est être poli(e) pour certain(e)s et sentir de nouveau une certaine liberté et de l’insouciance. Sauf qu’on ne demande absolument pas l’avis de l’autre, ça, ça ne change pas par contre.
 
7.

En vrac

13.

 
Evidemment qui dit bise, dit vente de sous-marins aux Australiens. Comment ça cela n’a aucun rapport ? C’est vraiment la pire transition pour mettre votre quiz en avant ! Vous êtes dur(e)s. Mais juste. Mais dur(e)s.