Le 11 mars 2011, Hachiya Kazuhiko publie une vidéo sur YouTube afin d'atténuer la gravité de Fukushima. La centrale est représentée par l'adorable Genpatsu-kun. Ses pets sont les accidents, et sa couche, la protection à de plus gros dégâts. L'enfer. https://t.co/6N3NT8czaS
— Lex Tutor (@NunyaFR) July 17, 2022
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Le sens glisse progressivement pour décrire un sentiment d’empathie ou de pitié, puis pour dépeindre les personnes mêmes pour lesquelles ces sentiments sont ressentis – à l'époque, surtout les femmes et les enfants.
On ne se sent plus kawaii, c'est les autres qui le sont.— Lex Tutor (@NunyaFR) July 17, 2022
Mais le mouvement kawaï va rapidement devoir composer avec trois variables qui vont atténuer sa force contestataire jusqu’à l’éteindre : la contre-offensive réactionnaire masculine, la reconnaissance de son colossal potentiel commercial, et la mollesse de sa rébellion.
— Lex Tutor (@NunyaFR) July 17, 2022
Kyary Pamyu Pamyu, présentée par la BBC comme LE visage du kawaï, fait même la publicité d'un magazine d’emplois précaires. Flexible, on vous dit.
Elle incarne ainsi une culture désormais au croisement subtile et complexe du néolibéralisme, de l’orientalisme et du nationalisme. pic.twitter.com/FDkx5NO8S5— Lex Tutor (@NunyaFR) July 17, 2022
Nous avons en réalité un monde interconnecté. Plusieurs civilisations qui commercent entre elles, qui dépendent les unes des autres, qui échangent aussi bien culturellement que matériellement. pic.twitter.com/EbehqJbxno
— Pierre Le Goupil 🦊 (@SireGoupil) July 6, 2022
Les coupables n’ont pas été retrouvés et aujourd’hui, on ignore encore ce qu’il s’est réellement passé ce jour-là. Cependant, nous avons un suspect. Il faut pour cela se poser la question suivante : à qui profite le crime ?
— Pierre Le Goupil 🦊 (@SireGoupil) July 6, 2022
Le cœur de cette mondialisation avant l’heure, c’est l’étain et le cuivre, métaux nécessaires à la conception du bronze. Mais il a aussi de nombreux échanges de produits périssables et aussi au niveau des arts. Nous avons un ensemble de civilisations florissantes.
— Pierre Le Goupil 🦊 (@SireGoupil) July 6, 2022
Dans cette histoire, il y a un personnage que nous n’avons pas évoqué : Aÿ. Ce Père Divin (un genre de super prêtre) est un notable important du paysage Egyptien. Il gravite autour des hautes sphères du pouvoir depuis le règne d’Akhénaton, une décennie plus tôt. pic.twitter.com/lrcheMNWLo
— Pierre Le Goupil 🦊 (@SireGoupil) July 6, 2022
Plusieurs grandes civilisations prospèrent à l’époque. Les Mycéniens, les Assyriens, les Babyloniens, les Cananéens… mais surtout les deux qui nous intéressent aujourd’hui, les Hittites d’Anatolie et les Egyptiens qu’on ne présente plus.
— Pierre Le Goupil 🦊 (@SireGoupil) July 6, 2022
Le bonhomme n’est certainement pas ravi de voir un Hittite au pouvoir, surtout qu’il convoite le poste. Zannanza mort, le trône d’Egypte lui revient. Hum hum….
— Pierre Le Goupil 🦊 (@SireGoupil) July 6, 2022