Féminisme

Violences après le sacre du PSG : et si c’était la faute des hommes ?

Par Maxime 02/06/2025

Les incidents de la nuit de samedi dernier, vus sous le prisme féministe.

 
La victoire du Paris Saint-Germain en finale de la Ligue des champions samedi dernier a été suivie de plusieurs incidents dans toute la France. Au-delà des dégâts matériels, plusieurs violences sur des personnes (on compte deux morts et des dizaines de blessés) ont marqué cette nuit de “fête”. Cette violence est quasi exclusivement masculine, écartant les femmes de l’espace public et les exposant à de nouvelles agressions. Derrière l’enthousiasme sportif, c’est un sexisme profond qui se dévoile. Le football, souvent célébré comme un sport populaire et fédérateur, devient ainsi le terreau d’un déferlement de violences masculines. Une question s’impose : et si le problème, au fond, c’était les hommes ?
 

Les hommes, ces hystériques :

Pleurs constants, aucune maîtrise des nerfs, évanouissements réguliers, les femmes sont souvent décrites comme survoltées. Contrairement aux hommes, qui ont la réflexion et le sang-froid pour eux. Lol.
 
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L’espace public réservé :

Le football est un sport populaire et une victoire devrait pouvoir être célébrée par toutes et tous. Or, plusieurs femmes ont été ciblées lors des violences de la nuit dernière, parce que femme. Pire : elles ont été critiquées car elles ont eu l’audace de vouloir sortir de chez elle.
 
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Le foot, une affaire d’hommes :

Le sexisme est très présent dans le football (mais dans les autres sports également). Les blagues misogynes sont récurrentes et les femmes sont souvent moquées dès qu’elles tentent de s’intéresser à un jeu auquel de toute façon “elles ne comprennent rien”.
 
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Les posts en vrac sur les violences des hommes après le sacre du PSG :

Le virilisme n’explique pas tout. Derrière les violences de la nuit précédente, il y a également des raisons sociologiques. Mais la position féministe est trop souvent balayée d’une main.
 
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En bonus :

L’appropriation de l’espace public par les hommes, un problème récurrent dès l’adolescence :
 

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