Je viens de voir des militants d'extrême gauche boire le sang de nourrissons en invoquant Satan avec des bougies disposées en pentacle. Des poupées vaudou de Macron sont empalées sur des piques. Ils portent la marque blanche de Saroumane. J'ai peur de ce que notre pays devient.
— Bismatoj (@bismatoj) May 5, 2018
Finalement les seuls qu’il n’aura pas condamnés seront les identitaires.
Logique. https://t.co/uu6Fk2xjvA— christian andreo (@Andreo_Ch) May 5, 2018
#LaFeteAMacron
Au-delà du sujet, il est insupportable de voir cette tournure grammaticale promue par des élus !
« La fête DE Macron » eut été plus correct.
Penser que les classes populaires ont besoin d’une langue française dégradée pour s’y reconnaître, c’est les mépriser.— 🇫🇷 MarleneSchiappa (@MarleneSchiappa) May 5, 2018
Merci pour ce rappel sur le wording, il y aurait besoin d'une task-force interministérielle pour protéger le bon usage du français. Vous pourriez glisser l’idée au prochain meetup de vos helpers au ministère afin faire du team building dans un esprit bottom up de coworking ? https://t.co/wYOsFcuOMa
— dr Thibault (@thibault_lh) May 5, 2018
Deux contresens 1) Il y a une différence de sens importante entre "la fête de Macron" et "faire la fête à Macron", le 2e est l'antiphrase ironique du 1er. 2) Une tournure populaire n'est pas une "langue française dégradée". On appelle ça l'usage. #5MaiFeteAMacron #LaFeteAMacron https://t.co/DzM0weEBFH
— Laélia Véron (@Laelia_Ve) May 5, 2018
Par ailleurs, quitte à se prendre pour une pimbêche de la langue française, il manque un accent circonflexe à "eût été" (pour différencier le passé antérieur et le conditionnel passé). À ce jeu là @MarleneSchiappa on se fait toujours doubler…
— Laélia Véron (@Laelia_Ve) May 5, 2018
Petit cours de français à l'intention de Schiappa, LREM, FBPE et quelques autres :
➡ À gauche, la fête DE Macron
➡ À droite, la fête À Macron pic.twitter.com/BSfzh9N5FJ— Weatherboy 🐢🔻 (@Weatherboy_fr) May 6, 2018
On a le droit de dire barbe à papa du coup ou c'est mépriser les classes populaires? (c'est pour un ami).
— Sophie Gourion (@Sophie_Gourion) May 5, 2018
Quand t’es tellement proche des classes populaires que tu ne connais pas l’expression « faire sa fête à quelqu’un ». #LaDéfaiteÀMarlène https://t.co/cNWyRauzTt
— Guillaume Meurice (@GMeurice) May 5, 2018