Je pars alors dans une course effrénée à voir tout ce que je vais pouvoir être capable d’entreprendre.
— NORMA (@NormaResiliente) August 24, 2020
De fil en aiguille, J’OSE. J’ose reprendre le cours de ma vie, là où mon grand-père a cru m’avoir laissée pour morte.
— NORMA (@NormaResiliente) August 24, 2020
C’est alors que je me mets à entreprendre. Je m’inscris dans cette école de théâtre que je lorgne depuis des années. Je quitte mon petit patelin pour PARIS ! Je prends le métro. Même pas peur ! Je rencontre des gens. Même pas peur !
— NORMA (@NormaResiliente) August 24, 2020
Je remonte sur scène, même pas peur ! (euh, enfin si, un peu… mais cette fois c’est normal).
— NORMA (@NormaResiliente) August 24, 2020
Et c’est exactement ça : vos peurs redeviennent NORMALES. Elles ne régissent plus votre vie. J’ai alors créé un spectacle pour en parler, et ça y est, la boucle est bouclée. Le rêve que j’avais à 3 ans redevient mien.
— NORMA (@NormaResiliente) August 24, 2020
Ça n’a pas été simple mais ça n’a pas été plus compliqué que de se taire et de pleurer seule, pétrifiée à l’idée de ne jamais réussir à se reconnecter à soi-même.
— NORMA (@NormaResiliente) August 24, 2020
Rappelez-vous bien que tenir le silence est beaucoup plus difficile que d’ouvrir la parole. Donc vous avez fait le plus dur mes petits escargots !
— NORMA (@NormaResiliente) August 24, 2020
Certes, votre corps et votre âme se souviennent de chaque cellule qu’on lui a amochée mais chaque cellule se souvient aussi de l’être qu’elle constituait avant.
— NORMA (@NormaResiliente) August 24, 2020
Et quand vous découvrez que le combat va être long, mais qu’il est possible de récupérer l’être que vous avez été, vous avez déjà réussi à faire un bon pied de nez à votre sidération. One point baby !
— NORMA (@NormaResiliente) August 24, 2020
C’est comme un bon mojito : il y a des ingrédients à respecter et d’autres à ne pas mettre (toi-même tu sais, le tabasco c’est dégueulasse).
— NORMA (@NormaResiliente) August 24, 2020