Libérés, délivrés ! Le couvre-feu a pris fin hier après avoir duré quasiment 8 mois en France métropolitaine (hors nuit de Noël). En effet, le premier couvre-feu national avait été instauré le 30 octobre 2020 ! D’abord établi à 21h, il avait été progressivement avancé à 18h mi-janvier avant d’être repoussé à 19h en mars, à 21h en mai et à 23h le 9 juin. La levée du couvre-feu a été avancée de 10 jours en raison de l’amélioration nette de la situation sanitaire, d’après le gouvernement. Hier soir, les Français et Françaises ont pu pour la première fois en 8 mois redécouvrir leurs villes et campagnes de nuit (mais tout le monde a dormi car le lundi matin, ça ne pardonne pas).

Vivre sous le couvre-feu

Ces 8 mois se sont grandement fait sentir. Avec un couvre-feu à 18h pendant deux mois d’hiver, la vie ressemblait clairement à l’adage : métro, boulot, dodo. Les twittos étaient un peu… à bout.
 
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Doucement mais sûrement, le couvre-feu s’éteignait à petit feu (c’était le feu) :

Chaque annonce du gouvernement qui permettait de gagner ne serait-ce qu’une heure a été accueillie avec une joie sans limite. Une heure de plus pour faire ses courses, aller chercher ses enfants à la garderie ou tout simplement flâner dans les rues. Les bars et restaurant ayant rouvert, on pouvait même se boire un petit apéro avant de rentrer bien sagement à 21h chez soi. Quelle vie.
 
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Et soudain : la libération

Le discours de Jean Castex en sortie de conseil des ministres annonçant la fin du port du masque en extérieur ainsi que de l’avancée de la fin du couvre feu n’est pas tombé dans l’oreille d’un sourd.
 
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Le jour J :

Le 20 juin 2021 restera dans tous les esprits, peut-être deviendra-t-il à terme un jour férié qui sait (l’espoir fait vivre).
 
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En vrac :

Une chose est sûre, personne ne pouvait s’imaginer début 2020 vivre une période avec de telles restrictions. Le soulagement est global, en espérant que l’épidémie ne revienne pas nous la faire à l’envers avec des variants bizarres.
 
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