Certes la question est potache mais elle n’est pas dénuée de sens : si vous pouviez parler au coronavirus, que lui diriez-vous ? D’après les réponses trois choix sont possibles : la haine pure et simple, le virus ayant emporté un grand nombre de morts, de nos proches certaines fois et nous ayant entraîné dans une situation instable émotionnelle et matérielle pour beaucoup d’entre nous, à se remettre à la cigarette ou à ne plus dormir la nuit ; l’imploration, le virus nous aura eu jour après jour, émiettant petit à petit notre état mental pour se retrouver au bord de la folie et de la dépression et enfin l’humour car sinon ce ne serait pas Twitter. Oh le bel exercice de catharsis que voilà.

Je t’aime pas trop trop

Des milliers de morts, des centaines d’emplois perdus, de longs mois de confinement et de couvre-feu, une vie mise entre parenthèse et un état mental déplorable, forcément avec un tel palmarès, les internautes n’ont pas que des mots doux à dire au coronavirus.
 
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Message personnel

Après des mois et des mois passés ensemble, à partager toutes les petites joies du quotidien et même les peines, à nous suivre où que l’on se déplace, une certaine intimité est née entre nous et le virus. Logique que certain(e)s veuillent lui envoyer des messages personnalisés.
 
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Stop par pitié

L’adversaire est trop fort. On était parti la fleur au fusil dans la guerre qu’on lui a menée et il est en train de la gagner. A l’usure après des années à nous contraindre de nous enfermer et à tuer nos proches. Nous t’implorons à genoux, cesse cette folie ô toi grand maître corona.
 
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Parler avec les mains

Discuter c’est possible quand la personne en face est capable d’entendre nos arguments, de débattre, voire de nous écouter d’une oreille attentive. Mais là, la souffrance accumulée est trop forte. Seule la violence physique s’impose dans cette situation.
 
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En vrac

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