Féminisme

Réseaux sociaux et féminisme #113

Par Sandra 13/12/2025

Le meilleur du féminisme que nous ont offert les réseaux sociaux cette semaine.

Cette semaine, nous revenons sur l'affaire Ary Abittan, sur une tentative de maquiller un féminicide et nous parlons, entre autres, de la santé des femmes.

Les femmes ont un cerveau aussi :

 
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Ary Abittan : omerta et impunité

Le nom d’Ary Abittan est à la croisée de deux affaires distinctes mais désormais indissociables dans le débat public. D’un côté, une accusation de viol avec violence en 2021, conclue par un non-lieu (pas de procès). De l’autre, le témoignage récent de Laury Thilleman, qui est revenue sur un baiser forcé survenu en 2013 à la télévision, geste à l’époque banalisé mais qui choque aujourd’hui. Défendu ouvertement par Brigitte Macron qui a traité les féministes s’en prenant à lui de “sales connes”, il est temps que la lumière soit faite sur les actes de cet homme.
 
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Une tentative déguisée de féminicide :

Ce n’est pas la première fois qu’un homme tente de maquiller un crime en accident. Mais les médias se doivent d’utiliser les bons mots.
 
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Vaut-il mieux être seule que mariée et femme au foyer ?

 
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Si c’est ça la menace, je signe tout de suite

 

La santé des femmes :

 
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« Les formations à la RCP sont dépassées et mettent la vie des femmes en danger. »
Les fois où j’ai pratiqué une réanimation cardio-pulmonaire (RCP) sur de vraies femmes, la sensation était complètement différente, parce que tous nos mannequins d’entraînement ont essentiellement des torses masculins. Mais dès que tu dis que le système de santé est conçu autour du corps masculin caucasien, les gens crient à “l’agenda politique”, comme si ce n’était pas un problème documenté. Soyez sérieux.

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Réseaux sociaux et féminisme #113 : on termine avec le vrac

 
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« Entre les hommes et les femmes, qui gère le mieux le rejet ??? »
« Donc, il y a cette statistique sur les féminicides… »

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« C’est toujours frappant de voir à quel point les hommes doivent inventer les scénarios les plus irréalistes possibles pour justifier la maltraitance des femmes. Les pompiers sont littéralement des professionnels de l’urgence payés pour sauver des vies, mais dans leur monde fantasmé, le fait qu’une femme pose des limites suffirait à annuler son professionnalisme. »

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Misandrie et misogynie, même combat ?

Dans cette sélection spéciale, vous nous expliquez pourquoi on ne peut pas renvoyer ces deux termes dos à dos :
 
@zela_hykrast dit "On pleure à cause de la misogynie, mais il y a des femmes qui affichent avec FIERTÉ d'être misandres ?? Dans leur bio genre ? Ça fait partie de ta personnalité de détester le sexe opposé ?? Ça me rend triste. On va pas s'en sortir à ce rythme." et @maht_hilda lui répond "On rappelle juste que la misogynie tue, et que la misandrie vexe."

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