Déjà dans les années 90, les fondamentalistes consignaient leurs plaques d'immatriculation pour les identifier et les traquer jusque chez elles. Ça leur coûtait seulement 5 dollars. Avec l'irruption de la reconnaissance faciale, c'est désormais gratuit.https://t.co/5NZxwlrmZJ
— Olivier Tesquet (@oliviertesquet) May 31, 2022
Qu'est-ce qui empêchera demain des activistes anti-avortement de photographier ces femmes puis d'utiliser un logiciel comme Pimeyes pour les retrouver ? D'autant que dans certains Etats, la loi encourage déjà cette délation.https://t.co/JtbHocozEj
— Olivier Tesquet (@oliviertesquet) May 31, 2022
La police française a un problème avec les journalistes et le prouve une fois encore, en les empêchant de faire leur travail en marge de l'AG de Total. pic.twitter.com/RqzwTOpMRP
— Olivier Tesquet (@oliviertesquet) May 25, 2022
Sur BFM, le photojournaliste suisse Guillaume Briquet, blessé lors d'une embuscade de l'armée russe, s'adresse aux pigistes qui se précipitent en Ukraine : "C'est ma carte de presse qui m'a sauvé la vie. Sans elle, vous serez considéré comme espion et abattu sur place."
— Olivier Tesquet (@oliviertesquet) March 8, 2022
En fait, la primaire populaire, c’est un conseil de classe de 6e. pic.twitter.com/MNkU2pqvBm
— Olivier Tesquet (@oliviertesquet) January 30, 2022
Clientélisme électoral chimiquement pur https://t.co/tI5OrIHI9L
— Olivier Tesquet (@oliviertesquet) September 4, 2021
Et surtout, n’oubliez pas de diversifier votre activité. pic.twitter.com/qux94HrgCw
— Olivier Tesquet (@oliviertesquet) June 20, 2021
Le Point, 29 juillet 1995 pic.twitter.com/x2hyJRwRxG
— Olivier Tesquet (@oliviertesquet) April 28, 2021
Illustration de la stratégie de découragement des manifestants : au lieu "d'individus ultra-violents", on retrouve parmi les interpellés de samedi plusieurs journalistes, un avocat, un street medic… et de malheureux propriétaires de parapluies noirs.https://t.co/2MhZpFkjuI pic.twitter.com/ShSZcymEaz
— Olivier Tesquet (@oliviertesquet) December 13, 2020
La rhétorique des "policiers qui déconnent" en prend un coup avec cette deuxième vidéo. En voyant une bonne quinzaine de fonctionnaires regarder leurs collègues s'acharner contre Michel Zecler sans jamais intervenir, comment penser que ce n'est pas institutionnalisé ? https://t.co/NlqGmwQJ2p
— Olivier Tesquet (@oliviertesquet) November 27, 2020