Benoît Jacquot "prend ma main et la pose sur son sexe", relate l’actrice. Il l’informe qu’il est "pervers". (…)
(3/10)— Salomé Saqué (@salomesaque) February 8, 2024
Elle raconte "Mes joies et mes douleurs sont suspendues à ses humeurs et à son contrôle, dès qu’il le perd, il se durcit et devient cruel".
(4/10)— Salomé Saqué (@salomesaque) February 8, 2024
Un jour, chez lui, "il me dit d’enlever mon pull, qu’on va faire un jeu sexuel. Je dois me mettre sur l’escalier, dos à lui et fermer les yeux. Il prend sa ceinture, se met à me fouetter. Je le laisse faire un coup, deux coups, mais je ne peux pas", raconte-t-elle.
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Elle proteste : "Ce n’est pas drôle, ça fait mal." "Je le laisse m’attacher aux barreaux de la mezzanine avec la ceinture de son peignoir." (…) Judith Godrèche subit aussi des rapports bucco-génitaux qui la "dégoûtent".
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Chaque fois qu’elle a ses règles, c’est même "obligatoire". "Pour mes 15 ans, il décide que je dois jouir 15 fois, je n’ai pas le choix. Je fais semblant le plus vite possible." Idem pour les fellations à répétition qu’elle explique se faire imposer. (…)
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Lors d’un rendez-vous professionnel de Benoît Jacquot dans un bar, la jeune fille de 16 ans boit un Coca et fait trop de bruit avec sa paille. A la sortie, "il me donne un coup de poing dans le nez, puis part." (…)
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De retour chez elle effondrée et en larmes, la comédienne, selon son récit, se fait gifler par son compagnon qui la trouve "pitoyable". (…) Quitter Benoît Jacquot n’a pas été facile pour Judith Godrèche.
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"C’était impossible, tout mon monde était lié à lui", explique-t-elle. Elle doit s’y reprendre à plusieurs fois, partir, revenir, avoir des aventures, affronter le chantage au suicide et les menaces, avant d’y arriver pour de bon en 1992.
(10/10)— Salomé Saqué (@salomesaque) February 8, 2024
Les jeunes sont la cible d’un gouvernement en pleine obsession autoritaire. SNU, uniforme pour tous, travaux d’intérêt général pour mineurs… Ils sont stigmatisés, punis, mis « au pas ». Il s’agit probablement du gouvernement le plus hostile à la jeunesse depuis des décennies. https://t.co/p28fKCJ2wi
— Salomé Saqué (@salomesaque) January 30, 2024