Le 17 mars 2020, devant une France anxieuse, le président Emmanuel Macron décrétait le confinement national. Un an plus tard, certaines choses ont changé… et d’autres non. On en sait un peu plus sur le coronavirus, les gestes barrières pour éviter de l’attraper, le masque à porter SUR le nez (notez les majuscules à SUR pour bien indiquer que c’est au-dessus du nez hein) et la façon dont il mute. Plusieurs vaccins ont même été créés qui devraient à terme nous en débarrasser. On a compris qu’il n’y avait plus besoin de dévaliser les supermarchés : les pâtes, l’huile, la farine et le papier toilette ne disparaîtront pas comme par magie. Concernant le confinement, c’est rebelote pour la troisième fois. Seulement si la première fois, à l’inquiétude se mêlait également un parfum de nouveauté et de cohésion, cette fois, le moral est en berne total. Tout le monde a hâte que cela se termine, les jours se suivent et se ressemblent dans un cercle sans fin. Bref, la situation est difficile à supporter mentalement de telle sorte que certain(s) regrettent même le premier confinement.

Souvenirs, souvenirs

Nous avons vécu et nous continuons à vivre un moment historique, de ceux qui seront appris par les enfants à l’école. Et pendant le premier confinement, certains moments ou évènements sont passés à la postérité.
 
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C’était mieux avant

Entre le premier et le troisième confinement, un train nous est passé dessus. Celui de l’ennui, de la routine et de la dépression. La fraîcheur du premier confinement nous apparaît à des années lumières, celui de l’angoisse certes mais aussi de la redécouverte émerveillée du quotidien.
 
4.

Les défis

Se raser entièrement la tête puisqu’on ne pouvait pas aller chez le coiffeur, jongler avec du papier toilette, faire des vidéos TikTok avec sa famille, reproduire des peintures célèbres mais en vrai et se prendre en photo, la créativité des internautes coincés chez eux a été alors spectaculaire. Défi partager cet article à tes amis (écoutez on tente oh la la) ?
 
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En vrac

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