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L’armée mongole aurait-elle pu arrêter Messi (à son meilleur niveau )?

Par Maxime • 19/12/2025

Le footballeur Lionel Messi vs l'armée mongole, le choc des plus grands.

C'est tout simplement la question que tout le monde se pose !

Tout le monde se souvient de cette jeune professeure qui utilise la pop culture pour intéresser ses élèves. Une matière aussi rébarbative que la philosophie devenait alors un jeu. Pour l’histoire, c’est la même chose. L’apprentissage de celle-ci s’est considérablement dépoussiérée depuis l’arrivée sur Youtube de vulgarisateurs (le plus connu en France étant Nota Bene). De sorte que, désormais, il n’est pas rare de trouver des vidéos mélangeant plusieurs sujets qui n’ont par l’air d’avoir un grand rapport entre eux. Nous voilà donc avec une “confrontation” entre l’un des plus grands joueurs de football au monde contre l’armée de Gengis Khan qui a conquis l’un des plus grands empires au monde. Le docteur en histoire Simon Berger vous donne tous les éléments pour briller en soirée.

L’armée mongole aurait-elle pu arrêter Messi ?

Le rôle de l'historien n'est pas de contempler des chimères. Il étudie le concret des sociétés passées ancré dans les preuves de la documentation, sans être distrait par les lubies de ses contemporains.Donc soyons sérieux 2 minutes : bien sûr que l'armée mongole éclate Messi. 1/9#mongolsky

— Simon Berger (@chakarchinggis.bsky.social)2025-12-15T00:54:22.165Z

Pour le prouver, procédons avec méthode. Chinggis Khan, entraîneur. Tactique 4-4-2. Dans les cages : Boroghul, premier commandant de la garde, ne laissera rien passer, toute l'équipe peut se reposer sur lui avec une confiance absolu. Donne de sa personne quand il faut monter sur corner. 2/9

— Simon Berger (@chakarchinggis.bsky.social)2025-12-15T00:54:22.166Z

Défense centrale : Belgütei et Chila'un. Le premier est aussi bon stoppeur que lutteur, sa carrure lui permet de bouger n'importe qui. Quant au second, s'il a pu empaler Targhudai, vous pensez bien qu'il peut découper Messi d'un tacle bien senti. 3/9

— Simon Berger (@chakarchinggis.bsky.social)2025-12-15T00:54:22.167Z

Arrières gauche et droit : Muqali et Bo'orchu. Complètent les Quatre Destriers à l'arrière, extrêmement solides en défense, et capables de se porter très rapidement vers l'avant en soutien de l'attaque. 4/9

— Simon Berger (@chakarchinggis.bsky.social)2025-12-15T00:54:22.168Z

Milieu récupérateur : Jelme, premier des Quatre Molosses, se battra comme un chien pour récupérer le moindre ballon.Milieu offensif : Qubilai, un autre des Quatre Molosses, ses dribbles chaloupés font peur même aux Naiman. Peut aussi jouer en faux n° 9. 5/9

— Simon Berger (@chakarchinggis.bsky.social)2025-12-15T00:54:22.169Z

Ailiers droit et gauche : Quyildar et Jürchedei, les commandants respectifs des Mangghud et des Uru'ud, les redoutables troupes d'assaut de Chinggis Khan. Rivaliseront dans l'offensive et ne craindront pas les blessures. 6/9

— Simon Berger (@chakarchinggis.bsky.social)2025-12-15T00:54:22.170Z

En pointe : Les deux Molosses restant. Sübe'edei, redoutable attaquant, mais spécialiste des poursuites, ne rechignera jamais à faire l'effort défensif. Exerce un pressing monstre sur le porteur de balle adverse. Jebe, renard des surfaces, échappe toujours à la défense, cadre systématiquement. 7/9

— Simon Berger (@chakarchinggis.bsky.social)2025-12-15T00:54:22.171Z

Et ça c'est les titulaires, parce que derrière y a Chagha'an, Jochi Qasar, Tolun Cherbi, Shiki Qutuqu, Naya'a, Qorchi, Yisün Tö'e, Qutuqa Beki, Badai et Kishiliq, Tolui… Avec une telle profondeur de banc, comment voulez-vous que quelque équipe que ce soit résiste, Messi ou non ? 8/9

— Simon Berger (@chakarchinggis.bsky.social)2025-12-15T00:54:22.172Z

Messi à son prime… peuh ! Il battrait pas l'armée de Toghon Temür en 1368 !Non mais voilà quoi… Si on pose des questions sérieuses, faut y répondre sérieusement quand même…! 9/9

— Simon Berger (@chakarchinggis.bsky.social)2025-12-15T00:54:22.173Z