Belle ignore donc qu'un contact étroit avec la Bête l'expose à de nombreuses maladies infectieuses potentiellement mortelles, telles que la brucellose ou la rage…⬇️

— Marie Bayle-Normand (@mariebayle77.bsky.social) 2024-12-31T14:18:00.764Z

Enfin, Belle rencontre la Bête: tête de buffle, sourcils de gorille, défenses de sanglier, crinière de lion, bras et corps d’ours, pattes et queue de loup.La Bête est donc une Chimère, une entité composée de cellules de différents organismes.⬇️

— Marie Bayle-Normand (@mariebayle77.bsky.social) 2024-12-31T14:18:00.763Z

Or la capacité de ces microplastiques à pénétrer les tissus pulmonaires humains contribue au développement des maladies pulmonaires professionnelles.Les auteurices sont clair-es: plutôt qu’un Prince, Cendrillon a besoin d’une thérapie respiratoire continue pour vivre heureuse pour toujours !⬇️

— Marie Bayle-Normand (@mariebayle77.bsky.social) 2024-12-31T14:18:00.759Z

Elle pourrait donc développer des maladies pulmonaires professionnelles !Et alors que les choses ne pouvaient pas empirer, que fait sa bonne fée marraine ? Elle répand d’énormes quantités de paillettes magiques – autrement appelées microplastiques recouverts d’aluminium !⬇️

— Marie Bayle-Normand (@mariebayle77.bsky.social) 2024-12-31T14:18:00.758Z

Prenons Blanche-Neige, première & plus belle Princesse de toutes, au charme intemporel. Son isolement social en tant que servante pourrait entraîner des problèmes cardiovasculaires, une dépression et de l'anxiété, selon une synthèse robuste de la littérature sur le sujet.⬇️

— Marie Bayle-Normand (@mariebayle77.bsky.social) 2024-12-31T14:18:00.755Z

Jusqu'ici, la plupart des recherches sur les Princesses Disney se sont concentrées sur l’impact néfaste des idéaux irréalistes sur l’estime de soi des jeunes spectateurices: relations avec autres humains et animaux, normes de beauté impossibles (telles que les rapports taille-hanches), etc. ⬇️

— Marie Bayle-Normand (@mariebayle77.bsky.social) 2024-12-31T14:18:00.753Z