9/ Un convertisseur thermoélectrique assure la production électrique d'un rendement assez élevé d’≈ 3%. Ce convertisseur est traversé par le circuit primaire de NaK (700° C) qui retourne ensuite dans le cœur (600° C). Des pompes électromagnétiques assurent la circulation du NaK. pic.twitter.com/eocqeL07km
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25/ Un avion spécial WC-135 Constant Phoenix, conçu spécifiquement pour détecter les explosions nucléaires, fouille l'atmosphère à la recherche de radioactivité mais ne décèle rien, tout comme des U-2 américains (photo) qui effectuent des vols d'échantillonnage sans résultat. pic.twitter.com/NTxW7BGRBD
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10/ En fin de mission, le cœur du réacteur est normalement éjecté du satellite pour un transfert vers une orbite haute de garage entraînant une émission de gouttelettes de NaK qui sont aujourd’hui autant de débris spatiaux…
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26/ Des spectromètres à rayons gamma sont installés sur les aéronefs canadiens CC-130 Hercules. Les avions détectent les rayonnements émis par la surface, survolant un quadrillage à 1000 pieds au-dessus de la zone suspecte du crash du satellite. Les résultats sont concluants. pic.twitter.com/5MRfh4RN2L
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11/ Les satellites US-A soviétiques sont lancés par une fusée Tsiklone-2 (Photo ©Roscosmos). C’est le cas du satellite nommé COSMOS 954 qui décolle le 18 septembre 1977 depuis le cosmodrome de Baïkonour.
Rien ne va se passer comme prévu…
🧐⬇️ pic.twitter.com/98dOGlzazE
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27/ Des hélicoptères équipés de matériel de détection sont ensuite envoyés sur ces sites pour localiser précisément la source radioactive. Une équipe de récupération suit pour inspecter la zone au sol et récupérer toutes les matières radioactives. pic.twitter.com/HhdPd2bcHk
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12/ Le 7 novembre 1977, les experts américains du Commandement de la défense aérospatiale de l'Amérique du Nord (North American Aerospace Defense Command, NORAD), via des radars, remarquent une instabilité dans la trajectoire du satellite. pic.twitter.com/5z62IuRoAo
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28/ La zone est ratissée et des objets parfois très radioactifs sont découverts comme en février 1978 : des tiges et de cylindres de béryllium partiellement enfoncées dans la neige et la glace affolent les compteurs de l’équipe de récupération qui affiche 1 Gy/h. pic.twitter.com/939vuaHCUJ
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13/ Les spécialistes du NORAD commencent à mettre à jour les tracés du moment et de l'endroit où le satellite rentrera dans l'atmosphère. La plupart de ces calculs sont effectués au Lawrence Livermore National Laboratory grâce à un supercalculateur Control Data Corporation 7600. pic.twitter.com/YUPSOndQG4
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29/ Un autre gros morceau est découvert par hasard le 27 janvier 1978 par des aventuriers au milieu d'un voyage de quinze mois à travers le nord du Canada.
La phase 1 de l’opération Morning Light se termine à la mi-avril 1978. pic.twitter.com/tV78p3LHFI— Michaël Mangeon (@Mangeon4) November 11, 2022