7/ Le BES-5 soviétique (Бук, “Buk” littéralement “Hêtre”) est un réacteur à neutrons rapides utilisant un caloporteur NaK (eutectique sodium/potassium), pour des raisons de compacité du cœur, et de 6 réflecteurs mobiles en béryllium. Le combustible est de l’uranium enrichi à 90%. pic.twitter.com/EhwY0p9xpr
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23/ Une équipe mixte canadienne et américaine est mise en place. Elle est composée de soldats canadiens, de scientifiques et de spécialistes américains qui doivent passer au peigne fin la zone pouvant accueillir des débris radioactifs. pic.twitter.com/Lmn8cNPHZa
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39/ Sources photos/vidéoshttps://t.co/t6w8DQ6kMEhttps://t.co/9GueNCntVzhttps://t.co/Vc6NxaTztkhttps://t.co/z0gcFQPVMIhttps://t.co/g0LKhlhwo9https://t.co/eL9XjuDsIYhttps://t.co/UQ5EGkXPVu
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8/ Le cœur du réacteur est extrêmement compact (67 cm de long, 24 cm de diamètre et entre 31-44 kg). Il est équipé d’un blindage contre les rayonnements gamma et neutron. Un radiateur permet d’évacuer dans l’espace la chaleur générée. L’ensemble pèse 385 kg. pic.twitter.com/GNEummWEQW
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24/ Évidemment, la recherche est complexe : Un territoire de 124 000 km2 de nature sauvage subarctique doit être inspecté avec des températures qui descendent sous les -40 °C, en plein cœur de l’hiver. Un camp est établi, Camp Garland, également appelé Cosmos Lake. pic.twitter.com/NV8Oioxf9q
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9/ Un convertisseur thermoélectrique assure la production électrique d'un rendement assez élevé d’≈ 3%. Ce convertisseur est traversé par le circuit primaire de NaK (700° C) qui retourne ensuite dans le cœur (600° C). Des pompes électromagnétiques assurent la circulation du NaK. pic.twitter.com/eocqeL07km
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25/ Un avion spécial WC-135 Constant Phoenix, conçu spécifiquement pour détecter les explosions nucléaires, fouille l'atmosphère à la recherche de radioactivité mais ne décèle rien, tout comme des U-2 américains (photo) qui effectuent des vols d'échantillonnage sans résultat. pic.twitter.com/NTxW7BGRBD
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10/ En fin de mission, le cœur du réacteur est normalement éjecté du satellite pour un transfert vers une orbite haute de garage entraînant une émission de gouttelettes de NaK qui sont aujourd’hui autant de débris spatiaux…
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26/ Des spectromètres à rayons gamma sont installés sur les aéronefs canadiens CC-130 Hercules. Les avions détectent les rayonnements émis par la surface, survolant un quadrillage à 1000 pieds au-dessus de la zone suspecte du crash du satellite. Les résultats sont concluants. pic.twitter.com/5MRfh4RN2L
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11/ Les satellites US-A soviétiques sont lancés par une fusée Tsiklone-2 (Photo ©Roscosmos). C’est le cas du satellite nommé COSMOS 954 qui décolle le 18 septembre 1977 depuis le cosmodrome de Baïkonour.
Rien ne va se passer comme prévu…
🧐⬇️ pic.twitter.com/98dOGlzazE
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