3-depuis, les salariés ne payent plus de cotisations pour leur propre chômage. Les cotisations salariales chômage ont été supprimées et le manque à gagner a été compensé par l’Etat, donc par le contribuable. A l’époque, c’était présenté comme un formidable gain de pouvoir d’achat
— Nicolas Framont (@NicolasFramont) November 23, 2022
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4- (depuis largement bouffé par l'inflation) mais il s’agissait d’une façon de reprendre le contrôle sur le système, auparavant géré conjointement par les syndicats et le patronat. Pour autant, c’est toujours par notre travail que nous finançons le chômage :
— Nicolas Framont (@NicolasFramont) November 23, 2022
5 – les employeurs paient des cotisations sur nos salaires. Et par nos impôts, nous finançons désormais l’assurance-chômage. Pourtant, le gouvernement ne se gêne pas pour amputer un quart de ce pourquoi nous avons cotisé durant des années : ce qui est notre dû.
— Nicolas Framont (@NicolasFramont) November 23, 2022
6- Pour déguiser ce rapt de nos droits, le gouvernement a une condition dont la stupidité n’échappe qu’aux éditocrates : cette amputation d’un quart n’aura lieu que durant les “périodes vertes”, c’est-à-dire lorsque le chômage sera inférieur, comme c’est le cas en ce moment, à 9%
— Nicolas Framont (@NicolasFramont) November 23, 2022
7-Les « périodes rouges » à 9% et plus, ou lorsque le chômage sera en progression de 0,8% par trimestre, verront le rétablissement de la durée standard. C’est vraiment nous prendre pour des idiots : ce sont des organismes gouvernementaux qui délivrent ces chiffres,
— Nicolas Framont (@NicolasFramont) November 23, 2022
8 – et les tactiques pour les minimiser sont nombreuses. Les chiffres officiels du chômage ne disent rien du type d’emploi créé (mal payé, à temps partiel subi, précaire, par exemple) et exclut de sa comptabilité tous les gens hors-jeu (le “halo du chômage » )
— Nicolas Framont (@NicolasFramont) November 23, 2022
Florilège des pires amendements (638) déposés sur le texte de l'abolition de la #corrida.
Au menu: obstruction, caricature et mauvaise foi.
Dans le but de faire durer les débats et d'empêcher le vote final qui doit avoir lieu en séance -impérativement- avant jeudi minuit ⤵️🧵— Marie-Charlotte Garin (@MC_Garin) November 22, 2022
1. M. Yoann Gillet (@YoannGillet30), Rassemblement National, propose de remplacer dans le titre "un petit pas pour l'animal, un grand pas pour l'humanité"
par "imposer l'idéologie des mangeurs de graines aux habitants du sud de la France". pic.twitter.com/osw8oFU96Q— Marie-Charlotte Garin (@MC_Garin) November 22, 2022
2. M. David Habib (@DavidDhabib), NI, et M. David Taupiac (@davidtaupiac), groupe LIOT, proposent de remplacer dans le titre également par "imposer un mode de vie parisien". pic.twitter.com/6oiH1Nf1VA
— Marie-Charlotte Garin (@MC_Garin) November 22, 2022
3. M. Rémy Rebeyrotte (@RRebeyrotte), député Renaissance, propose de continuer à torturer les taureaux… mais pas en public. pic.twitter.com/LVQ7oNFFb5
— Marie-Charlotte Garin (@MC_Garin) November 22, 2022