L’un des freins les plus importants, c'est que ces économies – qui permettent à des grandes familles d’amasser des millions – ne sont pas rentables si on leur demande d’assumer les coûts sociaux et environnementaux.
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Ces bateaux coûtent très cher (jusqu'à 1 milliard d’€) et appartiennent le plus souvent à des grands groupes (MSC, Pinault, Costa, ….). pic.twitter.com/eLrPEExPcr
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La droite peut vous bassiner avec ouin ouin les emplois, la compétitivité etc…
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Le fait est: ce n’est pas rentable. Ces activités détruisent plus qu’elles ne produisent.
Sans même compter la part immorale que les actionnaires se mettent dans la poche.https://t.co/LRQSFwTB34
L'entretien coûte aussi cher… (+ de 100 M€/an)
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Pour ça, les grands groupes ont une solution magique : tout simplement ne pas payer la note.https://t.co/jUMuCpeAkc
Les croisières de luxe restent une activité de riches, une volonté d’entre-soi et ne peut être un idéal de société tant il abîme notre santé et nos écosystèmes. Exactement comme les méga-yachts, ce sont des pratiques insoutenables, égoïstes et mortifères.
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Et pour anticiper le fameux : "oui mais ça crée de l'emploi" : on a l'exemple parfait du problème de la création d'emploi dogmatique sans jamais soulever la question des conditions de travail :
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Enfin on laisse le mot de la fin au patron de @MSCCroisieres :
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"C'était notre préoccupation première de ne pas être taxés de greenwashing. Le challenge est compliqué.”
Bravo champion !
Eh oui, ces supers compagnies qui s'en foutent du climat mais "waw ils créent de l'emploi" n'ont aucun scrupules à exploiter des travailleur·euses : la plus grandes partie des personnes qui bossent à bord sont sur des contrats qui permettent de les sous-payer et
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et dans des conditions sanitaires catastrophiques, sans même parler du manque de formation concernant la sécurité.https://t.co/LdaU5SiXp1
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Patrick Chaumette, professeur de droit à l’@UnivNantes dit : « Si l’on veut accueillir un maximum de clients, il faut des prix défiant toute concurrence ; les coûts de fonctionnement étant importants, il reste une seule variable d’ajustement : la masse salariale. »@humanite_fr
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