La couleur jaune apparaît souvent dans Madame Bovary. Chez Flaubert, elle renvoie à l’existence stagnante, flétrie d’Emma. Le jaune est la couleur forte de Brice.
— PoPésie (@GPoPesie) February 25, 2023
Chez lui aussi, elle exprime une immobilité, celle de sa vie à Nice, avant qu’il parte.
Cette couleur l’enferme.
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Si Brice est désagréable et « casse » les gens qu’il fréquente, que dire d’Emma qui finira par emporter tous ses proches dans sa chute ?
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Le roman de Flaubert commence d’ailleurs par un chapitre au cours duquel Charles est vanné par une classe immature. pic.twitter.com/Z6Dg5pLNB3
– Eh ta conversation est « plate comme un trottoir ».
— PoPésie (@GPoPesie) February 25, 2023
Il y a chez Brice comme chez Flaubert une culture de la punchline (toute proportion gardée).
Tous les jours, des ouvriers et des esclaves viennent récupérer le liquide abondant et gratuit. Une aubaine !
— Pierre Le Goupil 🦊 (@SireGoupil) February 25, 2023
L’empereur Vespasien (69-79) décide alors de taxer la collecte d’urine afin de renflouer les caisses. Un nouvel impôt qui laisse un peu perplexe son fils, Titus (qui devient empereur en 79), qui ne comprend pas comment on peut s’enrichir sur du pipi. pic.twitter.com/FC5sdwVgB4
— Pierre Le Goupil 🦊 (@SireGoupil) February 25, 2023
L’argent n’a pas d’odeur ! Une expression qui nous vient de la Rome Antique et qui concerne… l’urine. Dans ce thread, nous allons nous pencher sur l’origine de cet adage et étudier la question des toilettes publiques dans la Ville 👇🚾 pic.twitter.com/kWPGlXo0tN
— Pierre Le Goupil 🦊 (@SireGoupil) February 25, 2023
Selon Suétone, Vespasien lui aurait collé sous le nez l’argent récolté grâce à la taxe en s’exclamant : « mais l’argent n’a pas d’odeur ! ». D’ailleurs, c’est aussi à cause de ce récit qu’on nomme les toilettes publiques les vespasiennes. Eh ouais.
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L’anecdote est connue et racontée par Suétone. L’empereur Vespasien souhaite imposer une taxe sur l’urine. Son fils, Titus, lui fait remarquer que ce n’est pas super propre. « Pecunia non olet », lui répond-t-il alors.
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Cette histoire tiendrait plus de la légende que de l’anecdote avérée, mais elle est intéressante et nous permet de comprendre comment étaient gérés les latrines de Rome. C’est une question d’hygiène public très importante !
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Ce qui est moins connu, c’est le contexte qui entoure cette histoire, donc la gestion de l’hygiène à Rome. C’est ce qui nous intéresse aujourd’hui.
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