D’après un sondage, seuls 19% des cavaliers considèrent avoir un niveau “expert” en 2019, cela représente 81% de personnes qui causent des douleurs aux chevaux par leurs erreurs de pratique.https://t.co/UZosxILQty
— Chloé 🐴❤ (@EmpereurDarius) November 8, 2023
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De plus, être “expert” n’empêche pas les erreurs et les gestes douloureux, qu’ils soient accidentels ou non et donc les conséquences négatives sur la santé mentale et physique du cheval.
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4. Il n’est pas nécessaire de monter pour interagir avec les chevaux
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Penser que l’équitation est le seul moyen d’avoir une interaction avec les chevaux est une idée très répandue bien qu’erronée.
[THREAD] Pourquoi être contre l’équitation ?
— Chloé 🐴❤ (@EmpereurDarius) November 8, 2023
Récemment, on m’a posé cette question à laquelle j’ai répondu simplement que je suis pour une interdiction pure et simple de l’équitation et je souhaite revenir sur les raisons de cette position. pic.twitter.com/08bgyt5eTs
Interagir avec les chevaux est possible en respectant leur consentement et leurs besoins fondamentaux car les sciences de l’éducation ont mis en avant de nombreuses méthodes d’apprentissage respectueuses de la santé physique et mentale des animaux.
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1. Monter à cheval est douloureux par essence
— Chloé 🐴❤ (@EmpereurDarius) November 8, 2023
A l’heure d’aujourd’hui, il n’existe pas de consensus scientifique démontrant que la pratique de l’équitation ne cause pas de douleurs au cheval à court, moyen et long terme.
Leur proposer des activités adaptées à leurs envies malgré nos différences de capacité est également possible : prendre un vélo, apprendre la liberté… pic.twitter.com/XHC4JmtlTU
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La thèse adverse ne fait pas consensus non plus mais il existe quelques études à ce sujet :
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a. Homer et al. (2007) montre que 91.5% de chevaux montés, en bonne santé et radiographés ont montré un conflit de processus épineux (vertèbres qui se touchent)
Ne plus exploiter les chevaux ne coupe pas nos liens avec eux tant qu’on est décidé à s’instruire et apprendre différemment pour les traiter avec le respect qui leur est dû.
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b. Konig von Borstel et al. (2017) montre que les chevaux perçoivent plus d’inconfort au trot qu’au pas et préfèrent généralement ne pas être montés si on leur laisse le choix
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