Le soleil a un champ magnétique complexe qui peut se manifester en surface par des tâches, des zones sombres où le champs magnétique est fort. Ces taches s'observent facilement (ne le faites pas seuls sans connaître) avec un télescope amateur ou d'autres techniques sympas. ©J.Coy pic.twitter.com/r9oS5FmJt6
— Eric Lagadec✨🌍 (@EricLagadec) October 17, 2023
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De temps en temps, au niveau de ces tâches, le champ magnétique va changer de configuration. On peut alors assister à une éruption solaire. Regardez cette vidéo, c'est incroyable pic.twitter.com/rf6GFsvE5I
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Pour avoir une idée de la taille, voici la Terre à côté! ( © ESA) pic.twitter.com/nj67xO2TVe
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— Frédéric Le Manach (@FredLeManach) October 16, 2023
Car à la blessure écologique des écosystèmes marins d’Afrique de l’Est, s’ajoute l’insulte néo-coloniale.
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Les industriels européens oublient que leur puissance de pêche et leurs navires immenses ont été construits grâce à des subventions publiques qui ont permis d’exporter notre surcapacité de production.https://t.co/o9rkhDK6UN
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— Frédéric Le Manach (@FredLeManach) October 16, 2023
En d’autres termes, après avoir détruit nos écosystèmes marins en Europe, on a envoyé nos excédents de capacité productive en Afrique pour répliquer la recette du désastre.
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— Frédéric Le Manach (@FredLeManach) October 16, 2023
Cette "exportation" néfaste s’est faite, là encore, dans le cadre de subventions publiques massives : c’est nous, les citoyens européens, qui payons "l’accès" des navires industriels aux eaux des pays du Sud dans le cadre d’accords injustes…https://t.co/HnTXL8JUIL
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…qui n’ont jamais prévu de permettre aux pays du Sud de structurer des activités durables, écologiquement et socialement.
On a reproduit le modèle colonial dans un cadre post-colonial : on paye des miettes, on pille, on exploite, on ravage.
Est-ce que vous associez une boîte de thon Petit navire ou Saupiquet à la violence néocoloniale de la France en Afrique et dans l’océan Indien ?
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Vous devriez. (1/23) pic.twitter.com/63HOKtb1LU
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Et quand on a torpillé les populations de poissons, on change de zone.
C’est ce qu’on a fait en Afrique de l’Ouest dans les années 70.
Et c’est ainsi que les flottes européennes ont fondu sur l’Afrique de l’Est, à partir des années 80.
