Pour la première fois de ma carrière, avec quelques collègues, j'ai exercé aujourd'hui mon droit de retrait. En effet, j'ai peur que les plafonds s'effondrent sur la tête de mes élèves. pic.twitter.com/YmuTbEyYgc
— Françoise Cahen (@FCahen) January 29, 2024
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D'autres cultures fertiles de moisissures vertes au 2e étage… pic.twitter.com/vFXifm7Tpe
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Trouvez-vous normal d'aller au travail en ayant peur que le plafond se décroche sur l'un de vos élèves ? pic.twitter.com/uF19KJM3sw
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La rustine sur mur, c'est bien. pic.twitter.com/pZz9oB8lBs
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Cette plaque et ce néon mal fixés se situent au dessus d'escaliers où passent des centaines de lycéens chaque jour. Alors sur qui cela va tomber ? C'est un jeu de hasard particulièrement pimenté.
Il y avait la roulette russe, il y a maintenant le plafond alfortvillais. pic.twitter.com/uv8uaQ5Vqb— Françoise Cahen (@FCahen) January 29, 2024
De nouvelles cartes de géographie se dessinent, ce sont des continents nouveaux que nous permet de découvrir @iledefrance en entretenant nos fuites avec tant de soin. pic.twitter.com/p30Wsk3mZs
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C'est joli, ça fait des dessins. Et des trous. pic.twitter.com/ruPPvz7BwT
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J'ai l'air de rire, comme ça, mais je suis très attachée à ce lycée, j'y ai passé plus d'un quart de siècle, depuis sa construction.
Les personnes qui y travaillent, les élèves qui y étudient sont extraordinaires. Voilà pourquoi je me mets en colère.
Nous ne méritons pas ça !— Françoise Cahen (@FCahen) January 29, 2024
Parfois le trou est stratégiquement disposé au dessus du bureau du professeur, aussi… pic.twitter.com/gzTVuPLMNq
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Je sais que les photos par tweet, ce n'est pas très "administratif" et bien sûr nous remplissons des fiches du registre santé et sécurité au travail.
Mais quand des travaux urgents promis et votés en 2021 ne sont pas faits en 2024, je crois qu'on peut comprendre l'exaspération.
— Françoise Cahen (@FCahen) January 29, 2024
