Quand est-ce qu’on en finit une fois pour toutes avec le bodycount ?
On n’en peut plus de ce mot et surtout de ce qu’il représente.
Le bodycount, pour celles et ceux qui l’ignoreraient, c’est le nombre de partenaires sexuels que vous avez eus dans votre vie.
Un chiffre qui ne veut rien dire, et pourtant, un critère de sélection essentiel dans la quête d’une relation amoureuse ainsi qu’un symbole mascu. Parce que bien évidemment, ce sont surtout certains hommes qui s’en servent pour discréditer les femmes en affirmant que passé un certain nombre de relations choisi aléatoirement, une femme ne mérite pas qu’on s’intéresse à elle parce qu’elle n’est pas sérieuse, qu’elle sera nécessairement infidèle, etc. Bref, c’est terriblement sexiste puisqu’à l’inverse, un homme ayant eu beaucoup de relations sera plutôt valorisé.
Deux histoires pour commencer
À quelques jours d’intervalles, sur Threads, deux posts ont abordé le sujet du bodycount récemment.
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Vos réactions
À chaque fois, ces messages ont suscité beaucoup de réactions. On regarde ça ensemble, en commençant par le mojito.
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On continue
Autres réactions, au second post cette fois.
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(Ndlr : l’analogie de la serrure est une « métaphore » utilisée par certains hommes pour justifier la diabolisation d’une femme ayant eu de nombreux partenaires et la valorisation d’un homme ayant fait la même chose : une clé qui ouvre plusieurs serrures est une bonne clé, une serrure ouverte par plusieurs clés est une mauvaise serrure.)
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C’est la fin de cette sélection spéciale consacrée à ce critère particulièrement sexiste qu’est le bodycount.
Bonus
Les femmes traversent la vie en mode difficile, nouvelle illustration :

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