Inutile de tortiller du cul pour chier droit. Si le ministre de l'intérieur ne démissionne pas de gré ou de force le lendemain du jour où les flics, les pompiers et les urgentistes se bastonnent en plein Paris, c'est que ça fait partie de sa feuille de route.
— Sparsa Colligo (@SColligo) October 16, 2019
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