Édouard Philippe ça a pris 3 ans hein https://t.co/hUVLeXXLwE
— Julien Paniac (@JulienPaniac) May 27, 2022
En train de chercher dans le CV de Pannier-Runacher un lien (même lointain) avec l’écologie…
un stage de 3ème ?
Quelque chose ?
— la vraie julie (@juliehenches) May 20, 2022
Une carte très importante : le taux de jeu de mots dans les noms de salons de coiffure, par département
(source : https://t.co/SbRBhfLvnJ) pic.twitter.com/yVLSpErIyR
— Jules Grandin (@JulesGrandin) May 19, 2022
Je conseille : envoyer ce tweet (de 2014) par WhatsApp. Réactions intenses assurées. https://t.co/AMOQdXF0CX
— Julie Patin (@JulieMG) May 15, 2022
🗺🌎🌆 Avez-vous déjà entendu parler d'Agloe, aux Etats-Unis ?
Une ville fictive, devenue réelle, puis disparue… du moins pour l'instant !
🧶⬇️ pic.twitter.com/02Bm2tv9MG
— Jules Grandin (@JulesGrandin) May 10, 2022
Tout commence à une époque où Google Maps n'existe pas et où il faut protéger son savoir cartographique. Non, je ne parle pas du XVIe siècle mais des années 1930
— Jules Grandin (@JulesGrandin) May 10, 2022
A cette époque, dresser une carte, c'est plus compliqué que simplement décalquer une image satellite. Il faut aller sur le terrain, faire de l'arpentage, tout dessiner.
Bref, c'est une galère.
— Jules Grandin (@JulesGrandin) May 10, 2022
Du coup, les cartographes essaient de protéger leur œuvres, et une des techniques les plus éprouvées est de placer sur les cartes des lieux inventés de toute pièce histoire de piéger les éventuels copieurs de cartes
— Jules Grandin (@JulesGrandin) May 10, 2022
Cette technique du piège cartographique, on la trouve dans pas mal de cartes. Ça peut être discret, genre rajouter un virage sur une route ou faire une erreur volontaire dans le nom d'un lieu.
— Jules Grandin (@JulesGrandin) May 10, 2022