Sois belle et tais-toi, variante, reçue sur ma boîte mail professionnelle. pic.twitter.com/L00DEwutbe
— Salomé Saqué (@salomesaque) November 6, 2021
Dans la famille des entreprises cyniques, Total est hors catégorie.
Le prix des hydrocarbures explose plongeant des millions de personnes dans la précarité. Et pendant ce temps là, Total surfe calmement sur cette crise, en laissant l'État Français payer une partie des dégâts. https://t.co/jTgixGqiJZ— Salomé Saqué (@salomesaque) October 28, 2021
Pourquoi les #PandoraPapers ne nous intéressent pas.
LuxLeaks, PanamaPapers, ParadisePapers et maintenant, PandoraPapers ! Beaucoup ne verront même pas la différence entre ces affaires, tant les scandales concernant les paradis fiscaux semblent se répéter à l'infini.
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— Salomé Saqué (@salomesaque) October 3, 2021
Ces dossiers ne sont pas très spectaculaires. Ils ne susciteront jamais la même émotion que la vidéo d'un délinquant qui tabasse à mort une passante pour lui voler son sac.
Pourtant, le niveau de criminalité, de préméditation, et d'impunité est bien plus élevé.(2/11)
— Salomé Saqué (@salomesaque) October 3, 2021
Ce braquage est organisé, systémique, et réalisé à une échelle si vertigineuse qu'on peine à comprendre ce que veulent dire ces chiffres. Un milliard d'€ détourné, ça ne veut rien dire pour moi. Je n'ai jamais possédé un milliard, ni un million, ni même 10 000 €.
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— Salomé Saqué (@salomesaque) October 3, 2021
Mais à l'échelle des États qui perdent des dizaines de milliards chaque année à cause de ces montages financiers, ça veut dire des milliers d'hôpitaux, d'écoles, de policiers en moins. Ça veut dire plus de misère sociale et d'insécurité.https://t.co/H38Thu3rWu
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— Salomé Saqué (@salomesaque) October 3, 2021
Seulement c'est loin d'être le cœur de cette affaire.
Grâce à ces centres offshore, les chefs d’États et milliardaires échappent aux taxes donc, mais aussi… aux juges et aux lois ! Vive le blanchiment d'argent !
Et s'il faut blanchir cet argent, c'est car il est sale.
5/11— Salomé Saqué (@salomesaque) October 3, 2021
En tolérant l'existence de ces paradis fiscaux, on protège l'activité des pires trafiquants (de drogues, d'armes, d'organes), mafieux et meurtriers en tout genre (clients de ces "paradis").
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— Salomé Saqué (@salomesaque) October 3, 2021
On permet à des chefs d’État censés faire les lois de piétiner leurs propres juridictions, de piétiner la démocratie et les droits humains.
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— Salomé Saqué (@salomesaque) October 3, 2021