Une des raisons de retard diagnostique est probablement qu’il s’agit d’un trouble « silencieux » qui souvent ne pose problème qu’à la personne qui en est atteinte.
« La société les tolère très bien, eux qui ne dérangent pas et font tout pour passer inaperçu » André. C— DrPairinPsychiatre (@Drpairinpsy) November 18, 2018
D’ailleurs la définition comme trouble est récente
(Dessin de Muzo dans le livre « rire et guérir » de Christophe André et lui) pic.twitter.com/WBjRLtenmY— DrPairinPsychiatre (@Drpairinpsy) November 18, 2018
Ils peuvent passer pour des personnes froides, distantes, bizarres, plus que pour des personnes timides
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Alors que faire?
Déjà un diagnostic. Car savoir ce que l’on est souvent un premier pas important.
Le diagnostic se fait avec un professionnel, mais psychomedia a mis en place une échelle en ligne (créé par Liebowitz pour une auto-evaluation) (mais ne signe pas le diagnostic)— DrPairinPsychiatre (@Drpairinpsy) November 18, 2018
Cette échelle sur la phobie sociale (Liebowitz) est disponible ici https://t.co/rNvPQagnjy
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La notion de souffrance et d’évitement sont deux critères majeurs
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Les prises en charges possibles selon les dernières recommandations sont la psychothérapie, le traitement médicamenteux, ou l’association des deux
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La psychothérapie est une forme de thérapie comportementale et cognitive, basée par exemple sur la rediscussion des croyances, des expositions à des situations évitées ou à des sensations, ou encore des apprentissages pratiques comme savoir s’affirmer
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