Ils avaient laissé le talkie-walkie dans la salle. Mais le pistolet en plastique, ils l'avaient EVIDEMMENT pris avec eux (il n'est pas extrêmement réaliste, mais après avoir pris un peu de beuh, on ne fait pas forcément attention à ce genre de détail j'imagine).
— Adrien Corbeel (@AdrienCorbeel) January 21, 2020
Le franc tombe.
Enfin.
Ils réalisent que l'escape game n'a probablement pas engagé deux gars pour fumer de la beuh devant eux. Et que 20€ par personne pour faire un escape room qui continue dans l'immeuble d'à côté, c'est assez improbable.
— Adrien Corbeel (@AdrienCorbeel) January 21, 2020
Ils rebroussent chemin, font la route en sens inverse et reviennent dans la salle où on les trouve, à notre grand soulagement.
On devenait fous. Eux, par contre sont ravis et nous racontent tout. C'était le meilleur escape room de leur vie.
— Adrien Corbeel (@AdrienCorbeel) January 21, 2020
Moi à ce moment là (et depuis) j'ai le cerveau en feu. Parce qu'il y a au moins 5 énormes coïncidences qui se sont suivi les unes après pour que ça arrive. Parce que c'est tellement improbable que j'ai moi-même du mal à y croire. pic.twitter.com/XGocenpuwV
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Et puis aussi, parce que ça aurait pu très mal à tourner. Qu'est-ce qui se serait passé s'ils étaient rentrés dans l'appart de quelqu'un ? Et s'ils s'étaient retrouvés face à quelqu'un de violent ? Comment est-ce qu'on explique ça à la police ?
— Adrien Corbeel (@AdrienCorbeel) January 21, 2020
(d'ailleurs ils sont revenus avec un mètre mesureur qu'ils avaient trouvés je ne sais où dans l'immeuble d'à côté, persuadé que c’était un indice. Au vol !)
— Adrien Corbeel (@AdrienCorbeel) January 21, 2020