Il prend un air profondément choqué et me balance "tu es en train de m'accuser de viol ?!?!"
J'avais envie de lui faire bouffer un fémur de tricératops à ce moment là.
"Tu ose dire ça alors que tu me fais passer pour un fou auprès de tes amis alors que la folle c'est TOI". pic.twitter.com/pV7gkobHyl
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Là je me prends une seconde claque.
D'où il est au courant de ça ?!Il montre mon téléphone et me dit d'un ton narquois "ton code pin est nul à chier, espèce de débile".
QUEL
ODIEUX
CONNARDLe type avait fouiné mon téléphone quand j'avais le dos tourné ?!? pic.twitter.com/ozuDBmQVKM
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Franchement à ce stade là j'avais plus d'idées.
Je lui dit simplement "Paul tu fais pleins de trucs bizarres et ça me met mal à l'aise. Je veux partir demain. Laisse moi partir. Je suis fatiguée. C'est pas ce que je voulais"
Il y a un silence.
Puis Il réponds "ok". pic.twitter.com/qZFvl0KZJ8
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Donc… je suis libre ?
"Tu partiras demain comme convenu".
Ah.
Je me contente de cet accord pour éviter des problèmes et j'accepte.
On retourne chez sa mère pour passer une nuit de stess et de misère… pic.twitter.com/f8IMXkBLxa
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Le lendemain, vendredi, jour de ma libération… je me prépare à 10h pour partir ENFIN.
Paul me demande ce que je fais, je lui dit "je vais y aller" et il réponds "tu ne peux pas".
Oh non non non non NON. pic.twitter.com/BFLKr1wqk3
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"Quelqu'un passe prendre la camionnette à 17h et ensuite je dois récupérer ma moto. Je veux que tu m'accompagne. Ensuite je te déposerait à tes amis et je passerais la soirée avec vous pour faire connaissance"
LOL NON JAMAIS PAUL T'ES UN MALADE pic.twitter.com/d6m3ZmuEY2
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Je lui dit que je préfère profiter de mes amis sans lui car ça fait longtemps que je les ai pas vu.
Il réponds "Ce n'était pas une question".
Je suis à bout. pic.twitter.com/NdWvt2xTFx
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Je préviens mon pote anglais que Paul compte me traquer jusqu'à eux, il me dit ce que je sais déjà "SURTOUT PAS".
Il me donne un lieu et une adresse où le rejoindre avec la consigne "tu dois absolument le semer et fuir sans te retourner".
Ça c'était déjà prévu. pic.twitter.com/IO1d1yzaeN
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Je patiente donc en répétant le plan en boucle dans ma tête jusqu'à 17h.
Encore une fois : impossible d'avoir de la nourriture. Je le soupçonne de m'affaiblir au maximum par sécurité.
J'économise donc mon énergie. pic.twitter.com/wQGaPp8QES
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Un peu après 17h, la camionette est rendue (dieu merci le mec a été ponctuel car Paul parlait de la rendre samedi ou lundi sinon !).
On se met donc en route pour le métro.
Et je constate avec bonheur qu'on a un changement à faire dans une grosse station. pic.twitter.com/a1qbuZuo9H
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