Mais César ne se démonte pas. La Gaule d’abord, Pompée ensuite. En un mois, il remonte le Rhône puis marche vers l’ouest. Il remet de l’ordre en reprenant le contrôle de Genabum (Orléans), mais aussi d’autres cités majeures comme Avaricum (Bourges). pic.twitter.com/DQ4LvzZz7j
— Pierre Le Goupil 🦊 (@SireGoupil) June 21, 2022
Attention, il n’est pas seul. César peut compter sur ses troupes, mais aussi sur ses alliés gaulois qui restent nombreux, comme les Lingons ou encore des auxiliaires germains. On rappelle que la Gaule n’est pas unifiée.
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Mais Vercingétorix, en plus d’être malin, connaît bien César et la tactique Romaine. Il sait que les légions sont dépendantes de la logistique et il pratique la tactique de la terre brûlée pour les paralyser. La situation devient vite compliquée pour Jules.
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Pendant ce temps, c’est toute la Gaule qui s’embrase. Les Parisis, les Eduens, les Bellovaques… César est forcé de diviser ses troupes pour éteindre tous les foyers d’incendie. La domination romaine est sur le point d’être anéantie.
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Nous sommes au point de rupture. César ne se démonte pas et poursuit son ennemi vers le sud, jusqu’à Gergovie (actuel Massif Central) où il s’est retranché. Il lance le siège en avril, mais est finalement obligé de se retirer rapidement. pic.twitter.com/OlMpwCSPf5
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On voit souvent Gergovie comme une victoire gauloise éclatante (merci Astérix). En réalité, il s’agit plus d’une retraite tactique d’un César qui cherche à économiser ses forces.
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