Et ça, ça fait sursauter les sénateurs (comme quoi) :
« Une dégradation durable de la santé financière de SNCF Voyageurs risquerait de faire dérailler le système tout entier. »— Erwan Manac'h (@emanach) June 15, 2022
Ironie de l'histoire, le groupe SNCF limite la casse en 2021 en privatisant certaines filiales ou grâce aux bénéfs de ses activités ds le logement & le transport routier. Le n°1 du secteur, Geodis, est une filiale SNCF.
C'est donc la route qui sauve le rail en 2021.— Erwan Manac'h (@emanach) June 15, 2022
Quand au plan de relance du ferroviaire annoncé en septembre 2020, il a été aspiré pour moitié pour éponger le manque à gagner dû au Covid. L'autre moitié finance des trucs imposés par l’État à la SNCF, comme l'arrêt du désherbage au glyphosate et la rénovation des ponts.
— Erwan Manac'h (@emanach) June 15, 2022
NB : l'Allemagne a débloqué 13 fois plus d'argent que la France pour le train dans son plan de relance.
NB 2 : il est plus qu'urgent d'agir… pic.twitter.com/Df03TYmGdM— Erwan Manac'h (@emanach) June 15, 2022
La question de la sécurité est clairement posée.
Le procès de l’accident de Brétigny-sur-Orge (réquisitoire aujourd’hui), a notamment révélé des problèmes structurels de surmenage des agents et d’organisation du travail défaillante, sur font de chasse aux coûts à la SNCF.— Erwan Manac'h (@emanach) June 15, 2022