En plus, c'était gagnant/gagnant.
Bill avait son moyen de contrôle, et nous notre dictature sanitaire.
Et les dirigeants de big pharma des revenus conséquents.Restait à inventer la maladie.
— Ignis (@Ignis87736341) November 3, 2020
La, les spécialistes se sont un peu battus. Chacun voulait que sa spécialité soit au centre de l'histoire.
Nous les infirmiers, on s'en foutait, nous sommes partout.Les endocrinos ont proposés une sorte de super diabète.
Comme d'habitude, on les a regardé avec dédain— Ignis (@Ignis87736341) November 3, 2020
Et on est passés à autre chose.
Les cardios voulaient une maladie cardiaque. Bon, ils aiment bien coller des électrodes partout, c'est leur truc. Le problème c'est que les troubles cardiaques, c'est déjà une cause de mortalité énorme et que tout le monde s'en fout.
— Ignis (@Ignis87736341) November 3, 2020
Non, il fallait un truc un peu spectaculaire. Donc c'est les réanimateurs qui ont gagné.
Les lumières qui clignotes, les machines qui font bip bip, les intubations, ça pète bien. Ça fera de plus jolies images pour les télé.
— Ignis (@Ignis87736341) November 3, 2020
Au début les neurologues faisaient la gueule, mais on leur a expliqué que pendant la crise ils seraient moins en contact avec d'autres humains, alors finalement ils étaient contents.
— Ignis (@Ignis87736341) November 3, 2020
Il fallait ensuite produire la maladie.
Un coup de fil en Chine plus tard, dans un labo p4 près de Wuhan et c'était torché.
Ils avaient en stock une grippette qu'on pourrait très bien faire passer pour une maladie mortelle.— Ignis (@Ignis87736341) November 3, 2020