Par TwogFr 26/03/2021

Ces plaintes que la police a du mal à prendre

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Le 5 mars dernier, le collectif féministe #NousToutes lance une enquête sur la prise en charge des plaintes des femmes au commissariat. Avec près 3500 témoignages anonymes, le résultat est sans appel : une majorité juge l’accueil des femmes en gendarmerie mauvaise. Entre banalisation des faits, culpabilisation de la victime voire même refus de prendre les plaintes, il y a quelque chose de pourri au royaume du poste de police. Sur Twitter le hashtag #PrendsMaPlainte est lancé, où de nombreuses personnes racontent leur difficile histoire personnelle et leur sentiment de ne pas avoir été écoutées.

 

 

Refus de prendre la plainte

Même si cela est interdit par la loi, de nombreuses personnes indiquent que les policiers qui les ont reçu ont refusé de prendre leur plainte. Une décision d’autant plus inexplicable que ce droit est affirmé dans la Charte d’accueil du public et d’assistance aux victimes qui doit être affichée dans les locaux de police et de gendarmerie.
 
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T’es sûre ?

Même si la situation commence à bouger et que les policiers sont mieux formés à la prise des plaintes, certains se permettent toujours de remettre en cause les témoignages des victimes. Voire quelquefois de tenter de dissuader les personnes à porter plainte.
 
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A quoi bon ?

Lassées de la non prise des plaintes, de la culpabilisation de leur témoignage voire pire d’une méfiance des policiers et du système judiciaire en général, certaines personnes estiment que porter plainte ne vaut même pas la peine.
 
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En vrac

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