17/22 pic.twitter.com/ACUFL4e4nY

— Evelyne Lesigne-Audoly (@EvelyneLesigne) January 12, 2023

⬆️ En illustration, l'uniforme (fille, version hiver) du lycée international de Matsudo (département de Chiba), où j'ai été assistante de français au tournant de l'an 2000. 2/22

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Chapitre 7 : les vraies valeurs
L'uniforme du lycée où je travaillais était très populaire et considéré comme joli. Il était cité comme l'une des 1ères raisons (la 1ère?) pour lesquelles les lycéens avaient choisi ce lycée plutôt qu'un autre. Du moins les lycéennes. 18/22 pic.twitter.com/lqz83miI3O

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Chapitre 1: l'uniforme est multiforme
Je ne sais pas à quel pays / quels temps imaginaires rêvent ceux qui sont en faveur de l'uniforme, mais dans un pays réel de notre époque, les lycéens passent leur temps à détourner l'uniforme. 3/22 pic.twitter.com/Xl8BQEM7to

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Vous avez bien compris: le critère pour choisir ce lycée était le fait de pouvoir porter ce joli uniforme. Pas le taux de réussite. Pas les options. (Ces affirmations de la part des intéressées étais p-ê exagérées. Elles regardaient aussi le niveau. Mais quand même…) 19/22

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A mon époque, les mauvaises filles adoptaient le look "ganguro", qui contaminait assez largement les filles pas si mauvaises. 4/22 pic.twitter.com/dEDZNwyqkW

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Chapitre 8 : les trucs vraiment positifs
Mes élèves appréciaient le fait de ne pas perdre du temps à choisir leurs vêtements le matin.
Et de ne pas avoir besoin d'acheter plein de vêtements. (Bon, elles en achetaient quand même plein pour les w-e.) 20/22

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En version plus sage, ça donnait ça. Cardigan de marque anglaise chère obligatoire, sinon on ne méritait pas d'être fréquentée. (Ah!? Il y en a qui croient qu'avec un uniforme on échappe aux marques?) 5/22 pic.twitter.com/fEpcRg5P8t

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Epilogue. Au risque de terminer sur une pirouette argumentative, je ne peux rien dire d'autre que je m'en fiche un peu, qu'il y ait ou non un uniforme. Mais j'aimerais juste inviter les parlementaires à observer les pays à uniformes… 21/22

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Les filles raccourcissait l'ourlet des jupes. Dès qu'elles sortaient du lycée, elles les roulaient à la taille pour raccourcir encore.
En 2000, la mode était aux soutien-gorges vert pistache ou rose framboise que l'on voyait par transparence sous les chemises blanches. 6/22 pic.twitter.com/RnfQ2pnLMv

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