Cette petite phrase de Léa Salamé à Artus est problématique à tellement de niveaux.
Un fil ⤵️ pic.twitter.com/mepLzHzwcm
— Loup Espargilière (@L_Espargiliere) May 1, 2024
Samedi soir, la journaliste a demandé au comédien Artus comment il avait réussi à calmer ses angoisses. Extrait :
Artus : Je fais plein de petits trucs en plus et ça va beaucoup mieux. J’ai arrêté de boire, j’ai arrêté de fumer… pic.twitter.com/xWdEtM2cY6
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Salamé : Ah, vous êtes devenu chiant. Vous n’êtes plus angoissé, mais vous êtes chiant.
Artus : Mais c’est bien en fait de ne pas boire d’alcool forcément…
Salamé : Ohlala…
Artus : Je vous emmerde ! Si j’avais dit que j’arrêtais la coke, tout le monde m’aurait dit bravo. pic.twitter.com/sbN0Q3Q4Ge
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Artus raconte qu’il était hyper angoissé et qu’il va mieux.
Qu’il a vaincu une addiction forte au point qu’il a fait des crises d’épilepsie pendant son sevrage.
Au lieu de le féliciter pour ce qui a dû relever d’une immense épreuve, Léa Salamé… l’insulte.
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Quelques semaines plus tôt, elle avait fait le même coup à Gad Elmaleh, qui n’avait plus bu depuis « deux ans et sept mois ». Salamé : « La fête n’est pas moins belle ? »
Il lui propose de faire la fête « sans alcool, mais avec de la joie». Elle : «non».
Il a buggé comme ça : pic.twitter.com/JBlaCJ54ep
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L’alcool, c’est festif à petites doses et quand on est en bonne santé mentale.
Mais pour des millions d’entre nous, c’est un mauvais remède à l’anxiété, la dépression et des traumas en tout genre.
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S’il donne la sensation de pouvoir mettre le cerveau au vestiaire l’espace d’une heure ou d’une nuit, l’alcool est aussi une potion magique pour se rendre dépressif, anxieux, violent ; il isole, génère toutes sortes de maladies et tue.
Plus de 40 000 morts par an en France. pic.twitter.com/v4qURAPehQ
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Nous sommes des millions à garnir les terrasses des bistrots dès que la météo le permet.
À prendre l’apéro entre voisins alors que midi n’a pas sonné.
À consommer l’alcool en mode solitaire, mondain ou binge.
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Quel visage aurait notre société si nous n’étions pas si nombreux à vivre en deçà de nos capacités, à la fois fatigués, amortis et stressés que nous sommes par l’ingestion régulière de ces poisons dont nous abreuve l’industrie avec la complaisance absolue de nos dirigeants ? pic.twitter.com/vLOdNQgCw9
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