Renaissance italienne. (1600-1700)
On peint des femmes plus réalistes,
les cuisses sont dodues, les poitrines lourdes, des hanches larges et embompoint appétissant, signe de richesse et de bien être.
La peau claire, les cheveux blonds et un front haut sont les critères de beauté pic.twitter.com/9Ciluf1qXL— ✨𝑨𝒍𝒄𝒉𝒊𝒎𝒊𝒔𝒕𝒆 𝒅'𝑬𝒕𝒂𝒕✨ (@ZinaElric) April 16, 2020
Renaissance française.(1500-1700)
Sous le règne de Catherine De Médicis, la France découvre le Fard dOrient, le teint est exagérément blanc, les lèvres, ongles et joues et le bout des seins sont peinent de Vermillion.
La féminité est à l'honneur et la femme doit être pulpeuse pic.twitter.com/P6SWmJOr1l
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Le Siècle classique et le culte de la sophistication (1700-1800)
Un teint de lait, une taille très fine, une poitrine imposante, des bras et des mains potelés, étaient des critères de rigueur pour être considéré comme belle. Pour obtenir une taille parfaite, très fine et lisse pic.twitter.com/TMofZZyXvB
— ✨𝑨𝒍𝒄𝒉𝒊𝒎𝒊𝒔𝒕𝒆 𝒅'𝑬𝒕𝒂𝒕✨ (@ZinaElric) April 16, 2020
elles emprisonnaient leur buste dans des corsets à baleine. Elles vont même jusqu'à risquer l’évanouissement voir l’asphyxie pour avoir une taille de rêve. En revanche, il fallait être bien en chair puisque cela signifiait que l’on pouvait manger à sa faim. Tout comme à la – pic.twitter.com/OVDTnI4r3S
— ✨𝑨𝒍𝒄𝒉𝒊𝒎𝒊𝒔𝒕𝒆 𝒅'𝑬𝒕𝒂𝒕✨ (@ZinaElric) April 16, 2020
Renaissance on se fardait de rouge, maintenant symbole de l'amour et de la sensualité, et on accentue ses veines bleu pour souligner leur teint laiteux. Les cheveux, ils étaient poudrés et relevés en chignon bouclé ou alors cachés sous d’imposantes perruques. pic.twitter.com/A6DExxqpGp
— ✨𝑨𝒍𝒄𝒉𝒊𝒎𝒊𝒔𝒕𝒆 𝒅'𝑬𝒕𝒂𝒕✨ (@ZinaElric) April 16, 2020
L'apres Révolution Française. (1800-1900)
Durant ce siècle, deux type de femmes.
1er : La petite molle, l'idéal de la bourgeoise.
Brune, en chair, laiteuse, cette femme incarne la beauté dans son aspect le plus lisse et codifié.
La corpulence est signe d'une bonne maternité. pic.twitter.com/3kyayTsScx— ✨𝑨𝒍𝒄𝒉𝒊𝒎𝒊𝒔𝒕𝒆 𝒅'𝑬𝒕𝒂𝒕✨ (@ZinaElric) April 17, 2020
2eme type : la Belle malade.
Un teint livide, des yeux cernés, et des joues creuses à cause de sa maigreur.
Son corps est faible, et elle a besoin d'un corset pour tenir. Où bien une femme déséquilibrée mentalement. La maladie est charmante.
Les hommes trouvent ça mystérieux. pic.twitter.com/nkWNpddIhI— ✨𝑨𝒍𝒄𝒉𝒊𝒎𝒊𝒔𝒕𝒆 𝒅'𝑬𝒕𝒂𝒕✨ (@ZinaElric) April 17, 2020
Les années folles. (1920)
Look androgyne, cheveux court, corps en H, la minceur est de rigueur.
On applati ses fesses et ses seins, corps sans trop de formes presque de jeune garçon.
Les seins doivent etre petits et séparés.
Les bras doient être musclés et les jambes fines. pic.twitter.com/uqbKopCBWj— ✨𝑨𝒍𝒄𝒉𝒊𝒎𝒊𝒔𝒕𝒆 𝒅'𝑬𝒕𝒂𝒕✨ (@ZinaElric) April 17, 2020
L'âge d'Or d'Hyllowood (1940-50)
La minceur à l'après-guerre est synonyme de mauvaise santé.
Poitrine généreuse, lèvre pulpeuse, courbe sensuelle, sexualité exacerbée, blonde platine, silhouette en 8.
Pure et sensuelle, enfantine et volcanique : Marilyn Monroe est une icône. pic.twitter.com/hlbekzYsRt— ✨𝑨𝒍𝒄𝒉𝒊𝒎𝒊𝒔𝒕𝒆 𝒅'𝑬𝒕𝒂𝒕✨ (@ZinaElric) April 17, 2020
La revolution sexuelle. (1960-80)
Fini les formes !
On aime les femmes sveltes, grande, sportive, et les peaux bronzées, synonyme de voyage (=richesse) et de vie active.
La minceur est l'idéal de beauté le + important.On aime les femmes enfants, sexuelle mais soumise. pic.twitter.com/USXQxfKVTE
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