Désolé mais "Gérard" ça fait pas tempête qui fait peur.
— Mickaël Frison (@mkfrison) January 16, 2023
La RATP complète le nom de la station Bonne Nouvelle 😍 pic.twitter.com/2jWbVWGgPE
— Mickaël Frison (@mkfrison) December 31, 2020
Ségolène Royal n’a pas "arrêté" le Club Dorothée.
Ceci est un thread. pic.twitter.com/V5ET8gBGXu— Mickaël Frison (@mkfrison) November 10, 2020
Depuis ce matin, et c’est un sujet qui revient à chaque buzz autour de Ségolène Royal, l’affirmation revient : Ségolène Royal est responsable de l’arrêt du Club Dorothée en 1997. This is totalement exagéré, je vous explique pourquoi. pic.twitter.com/hT9V8k2nr9
— Mickaël Frison (@mkfrison) November 10, 2020
On repart en 1987. TF1 lance le Club Dorothée. L’émission marche, mais doit marcher mieux. En cause notamment : sa programmation de dessins animés. En 87, Dorothée démarre sur TF1 avec des séries comme Candy, Les Bioniques ou Les Minipouss. Sympathique, mais pas fou. pic.twitter.com/E2jS34BnU7
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Pour ses nouvelles séries, le producteur AB se tourne vers le Japon et programme à partir du printemps 1988 des noms que nous connaissons tous aujourd’hui. Dragon Ball, Chevaliers du Zodiaque, Juliette je t’aime, et celui qui va constituer le coeur du drame : Ken le survivant. pic.twitter.com/YEht7xyj2o
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Ce n’est pas Ségolène Royal lance les hostilités : c’est en vérité Catherine Tasca, ministre déléguée à la Communication, dès 1988. Elle obtient immédiatement un écho dans les médias. Trois mois après la mise à l’antenne de “Ken le survivant”, Dorothée s’explique dans la presse. pic.twitter.com/4IgapMmhj5
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Télé Poche, nov. 1988. “Violence à l’écran : Dorothée répond aux parents”. Et répond à la ministre : il n’y a pas de la violence mais “de l’action”. Mais le plus intéressant est cet encart : Dorothée fait le distinguo entre séries pour enfants et séries pour “les plus grands”. pic.twitter.com/IAzxg78MQv
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C’est le coeur du pêché du Club Dorothée à ses débuts : sous la même marque Dorothée, dans des programmes certes pas forcément diffusés aux mêmes horaires (matin ou après-midi) mais présentés par les mêmes animateurs, dans un même contexte, se côtoient Mon Petit Poney et Ken. pic.twitter.com/LEyAQpY22V
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